Durant mon séjour, j’ai pu suivre de près, avec intérêt, deux chantiers de terrassement, l’un comme l’autre ayant pour objet la réalisation d’un pushkuni.
D’abord celui de Djenal, un oncle de Rubel. Puis celui de Rubel lui-même et ses parents, dont je vous parlerai ultérieurement sur le blog.
Les images évoquent l’ampleur et la pénibilité de la tâche pour tous les terrassiers, piocheurs/creuseurs et porteurs.
Il faut savoir qu’un panier plein peut peser une trentaine de kilos de terre compacte.
Les ouvriers doivent travailler en parfaite synchronisation.
Dès que le chantier est suffisamment avancé, les porteurs s’organisent par équipes de deux ou trois qui se relaient entre eux.
Chacun occupe un poste au mieux de ses capacités physiques et de ses préférences.
La terre déblayée sert à former des terrasses (notamment une plateforme pour une maison : vita en bengali) ou des remblais, qui se nivelleront par la suite, surtout lors des pluies de la mousson.
Voici maintenant quelques photos du chantier du pushkuni de Djenal.












