Depuis le col de Beyrède, une traditionnelle (re)mise en jambes, idéale après avoir quitté la montagne pendant quelques semaines.
Le parcours reste sujet à de nombreuses improvisations – on peut varier les itinéraires, la crête est esthétique et a priori facile, les points de vue sont multiples et changeants.
J’y suis allé mardi en milieu de journée, pour mon plus grand plaisir, sans recevoir la moindre goutte de pluie alors que la vallée d’Aure baignait tristement dans la grisaille.
Au seuil des Pyrénées, l’atmosphère qui se dégage de ce pas si modeste sommet de 1921 m (gare l’hiver ou le printemps, en raquettes, lorsque la neige est dure) comble le randonneur curieux et épris d’horizons.
Magnifique!