L’hiver, on se rend à la montagne d’Aret à pied ou en raquettes depuis le village de Tramezaïgues.

Le parcours de la route estivale du Rioumajou n’est certes pas très captivant mais il présente l’intérêt d’un excellent échauffement.

Après environ 1100 m de montée, plus ou moins ardue selon la forme et les conditions de neige, on s’arrête en rebord au-dessus de précipices boisés.

J’y étais lundi avec Régis, l’Aveyronnais sympathique toujours « en canes ».

Bien sûr, à partir du dessin de la route pas la moindre trace de randonneur avant nous.

Une météo grincheuse, une ambiance forte, la montagne sauvage telle que je l’aime.

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La grosse avalanche du ravin des Graviers n’est pas encore descendue du pic d’Aret. (Photo : Michel Bessone)
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Dans une rare clairière. (Photo : Michel Bessone)
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Voilà la toute nouvelle cabane d’Aret. (Photo : Michel Bessone)
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Closed or not closed pour les randonneurs ? (Photo : Michel Bessone)
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Il fait froid par bourrasques, mais c’est beau ! (Photo : Michel Bessone)
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Régis ouvre à son tour l’itinéraire. (Photo : Michel Bessone)
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Maintenant, il y a davantage de pente. (Photo : Michel Bessone)
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Derniers mètres de la montée. (Photo : Michel Bessone)
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Aspect sur le rebord. (Photo : Michel Bessone)
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Les 3000, Lustou et Batoua, sont cachés dans les nuages. (Photo : Michel Bessone)
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Descente tranquille ici. (Photo : Michel Bessone)
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Nous repassons à côté de la nouvelle cabane d’Aret. (Photo : Michel Bessone)