La montagne d’Aret est accessible par un sentier raide qui prend son départ à la route de la vallée du Rioumajou – officiellement réouverte à la circulation depuis peu.
Dans la forêt, ça grimpe pas mal, les lacets bien étudiés atténuant toutefois la pente.
On débouche sur des prairies, et une cabane inhospitalière, jadis rustique et presque en ruines mais au moins ouverte à tous.
Désormais, restaurée à grands renforts de subventions, la cabane d’Aret a en principe toujours une vocation pastorale. Est-elle vraiment destinée aux seuls éleveurs ? Ses portes restent en tout cas closes aux randonneurs de passage.
Quoi qu’il en soit, nul besoin de chercher à s’abriter, samedi après-midi.
Le soleil tapait, et après une approche en terrain sec, j’ai chaussé les raquettes pour parcourir des champs de neige transformée d’excellente qualité.





