A Bastan, je n’ai relevé que très peu de traces de passage s’agissant d’un long week-end de mai. Il y a eu quelques personnes en raquettes, samedi semble-t-il, et deux skieurs hier.
Parvenu devant le refuge, je ne suis pas rentré (je n’aime pas débarquer comme ça le matin – les deux skieurs de randonnée s’y trouvaient).
Peu après le lac Supérieur, changement de cap pour rejoindre Port-Bielh en passant par les lacs de Bastanet. Désormais, je ne vais plus fouler que de la neige vierge jusqu’à la fin de mon périple solitaire à l’Oule.
Quel bonheur de profiter, au feeling, de cet environnement sauvage, même si ce n’est pas le grand soleil !